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Le gouvernement malgache démontre un engagement fort envers la protection des travailleurs migrants. Les 25 et 26 février, le Comité de suivi des travailleurs malgaches à l’étranger s’est réuni dans la capitale pour finaliser et défendre un Accord bilatéral de travail proposé au gouvernement mauricien. Cet accord représente une avancée significative pour la réglementation et la sécurisation de l’emploi des Malgaches à Maurice.
L’Accord bilatéral vise à instaurer des règles claires et précises entre les employeurs et les travailleurs malgaches. En garantissant des conditions de travail décentes, il entend également mettre un frein aux abus dont peuvent être victimes les migrants. En plus de réglementer les relations professionnelles, cet accord facilite la gestion des flux migratoires, soulignant l’importance d’une émigration encadrée et sécurisée.
Piloté par le Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Fonction Publique, le Comité de suivi inclut la participation de plusieurs autres institutions, notamment le Ministère des Affaires Étrangères, le Ministère de la Justice et le Ministère de la Sécurité Publique. Cette coopération interinstitutionnelle permet de mettre en place une approche globale qui allie cadre juridique, diplomatie et sécurité, assurant ainsi une protection renforcée pour les travailleurs malgaches à l’international.
Lors de cette réunion, l’Office National de l’Emploi et de la Formation (ONEF) a également présenté un état des lieux des travailleurs malgaches à l’étranger. Grâce à la constitution d’une base de données plus précise, le gouvernement pourra adapter ses politiques d’accompagnement et de protection en fonction des réalités sur le terrain.
Madagascar s’affirme ainsi dans sa volonté de protéger et d’encadrer la migration professionnelle de ses ressortissants. La signature d’un accord équilibré avec Maurice représente une étape clé pour garantir des opportunités de travail sûres et dignes aux travailleurs malgaches. Ce processus de négociation vise non seulement à améliorer les conditions de vie et de travail des migrants, mais également à renforcer la diplomatie économique de Madagascar à l’étranger.
Cet engagement témoigne de l’importance que le gouvernement malgache accorde à la dignité et au bien-être de ses citoyens au travail, où qu’ils se trouvent. Dans un monde où la migration est de plus en plus courante, Madagascar se positionne en tant qu’acteur proactif, désireux de protéger ses travailleurs tout en leur offrant des possibilités d’épanouissement professionnel à l’international.
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Vos commentaires
Salama djiaby !
Encore une fois obligé de critiquer les ronds de jambes de ces organisations /ministères budgétivores et inutiles comme toujours !
Avant de prétendre : « veiller à la protection des travailleurs » qui ont réussi à trouver ailleurs ce qu’ ils ne trouvent pas chez eux et que ces organismes comme ministères sont incapables de remplir leurs devoirs et leur offrir ce à quoi ils pourraient prétendre de DROIT !
Voilà qu’ ils ont l’ outrecuidance ( comme d’ hab) de « réglementer, protéger, légiférer, encadrer, améliorer les conditions de vie » !!! ( what else ??? PTDR !) chez les voisins qui n’ attendent que leurs directives pour évoluer et se développer qui plus est : ce qu’ ils sont INCAPABLES d’ appliquer chez eux !!!
Ne manque plus que le ministère du tourisme pour leurs expliquer comment le développer !!!
ça ne manque pas de sel à l’ image d’ un putschiste qui vient vous expliquer ce qu’ est un état de « droit », le respect des lois et de la constitution !!!
Le pyromane qui va vous former pour être pompier, le transgenre qui va vous expliquer comment devenir un homme, le pédophile qui va « sécuriser » vos enfants ...
« ET BIEN J’ VAIS VOU’L DIRE !!! »
A Maurice les Malgaches qui y travaillent ont honte de parler leur langue ! ont honte de dire qu’ ils sont Malgaches (je ne comprenais pas pourquoi ?) , la majorité travaillent au noir et ne veulent surtout pas se faire attraper (les filles comme Félicie : tu m’ étonnes ...) car interdiction de séjour si attrapés ?
Et pour tout vous dire la soupy y est meilleure comme l’ herbe : que chez eux ! ( pas difficile me direz-vous ...)
Alors tous les ronds de jambes de ces ministères, organisations, assos, « comités de suivi » et autres institutions inutiles, incapables de « garantir » quoi que ce soit chez eux vont venir prétendre et expliquer aux Mauriciens comment améliorer : « les conditions de travail, de dignité, & de sécurité » ( rien que ça ! )
On comprend mieux leur inefficacité au lieu de s’ occuper de ce qui se passe chez le voisin (qui s’en sort magistralement mieux) que leurs ressortissants qui ont réussi à passer au travers des mailles du filet n’ ont aucune envie de revenir chez eux trouvant à Maurice tout ce qu’ un individu normalement constitué est en droit d’ attendre d’ un gouvernement digne de ce nom , vous avez ces clowns pour ne pas dire pitres qui arrivent encore à fanfaronner , comme dirait l’ autre : « que de la bouche » ...
Avec une mentalité pareille, c ’est bien un Trump et Musk vita gasy qu’ il faudrait pour nettoyer ces écuries qui hurlent : ôh secours, des reflux pestilentiels & un nettoyage au karcher !
Mais bon tant que Nous aurons ce 6e dan de l’ usurpation et de la frime à la tete des institutions qu’ il vérole toutes sans aucune exception, vous pourrez toujours « prétendre » et avoir l’ air , mais sans la chanson cela donnera ce que vous vous obstinez à espérer depuis 50 ans : encore un peu Mr le bourreau , finalement on n’ a que ce qu’ on mérite ...
De préciser qu’ à Maurice, le droit de cuissage contrairement aux Emirats : n’ existe pas !!!
« l’ importance que ce gouvernement accorde à la dignité d’ entretenir le »KERE" qui sévit dans le Sud pour lui permettre de continuer à mendier à l’ international et en recevoir les encouragements des voisins Africains pour bonne gestion de ces incuries & être gratifié de meilleur homme politique de l’ année ! : QDB
Clown be zallah !