Jean Luce Randriamihoatra, suspecté d’avoir piraté le site web de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a été placé en détention préventive en attendant son procès. Quatre chefs d’inculpation ont été retenus contre cet informaticien proche du parti TIM.
La procureure de la République, Narindra Navalona Rakotoniaina, dans une vidéo diffusée sur la page Facebook du ministère de la justice a déclaré que
Jean Luce Randriamihoatra aurait avoué s’être introduit dans le système informatique de la CENI à plusieurs reprises. La procureure a fait savoir que Jean Luce Randriamihoatra faisait partie du comité ad hoc qui a élaboré le site web de la CENI.
Le 21 décembre 2024, le site web de la commission électorale a affiché des résultats en faveur de Tojo Ravalomanana, principal candidat d’opposition à la mairie d’Antananarivo. Des résultats contradictoires à ce qui ont été annoncés par la CENI. En effet, cette dernière a proclamé la victoire provisoire de Harilala Ramanantsoa, la candidate du pouvoir le 20 décembre. Cette situation a conduit la CENI à suspendre son site après avoir indiqué être victime de piratage informatique.
Suite à une enquête, Jean Luce Randriamihoatra a été arrêté et mis en détention préventive. Jean Luce Randriamihoatra devrait-être jugé pour quatre chefs d’accusation, selon la procureure. En premier, l’accès non autorisé sur le site de la CENI qui est passible d’une amende de 100 000 à 10 millions d’ariary, conformément au texte relatif à la cybercriminalité. Un autre chef d’inculpation lié à la falsification des données informatiques passible de 2 à 10 ans de prison avec une amende de 2 à 10 millions d’ariary. Il est également poursuivi pour atteinte à la sûreté de l’Etat.
De son côté, Rina Randriamasinoro, secrétaire général s’est insurgé contre l’arrestation de Jean Luce Randriamihoatra. Il réfute l’accusation de piratage contre la CENI. Pour lui, il serait techniquement impossible de pirater le site de la CENI et que celui-ci puisse être restauré aussi rapidement.
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Vos commentaires
« Jean Luce Randriamihoatra aurait avoué s’être introduit dans le système informatique de la CENI à plusieurs reprises. »
S’il a avoué, c’est cuite, il ne doit s’attendre que la peine,...
Face à cet aveu, selon la déclaration de la Procureure, s’habituer à la mauvaise stratégie, au lieu de plaider coupable et implorer la clémence de la justice, Rina A a préféré provoquer leur colère, en disant, que c’est la CENI, la plaignante qui aurait dû être poursuivie.
Ce qui est marrant dans cette affaire, des détracteurs andafy avaient appelé les Tananariviens à venir en masse pour assister cette audience, mais, quelque dizaine seulement ont répondu cet appel.
Isandra dans un lieu de privation de liberté il faut deja sauver sa peau et ça passe par dire oui à malheureusement tout.
J ai fais l asile de la cellette en hte Corrèze..le plus vieux de France dans les gorges du chavanon et de la d’Ordogne que l on voit de mon gîte( occupé) ces gorges que je connais comme pas grand monde..
Bref ces ordures m ont signé un papier reconnaissant j accepte d être piké au XEPLION pour être lâché au bout de 6 mois...mais piké tous les mois...jusqu’à janvier 16 et le« miracle »
pile le 7 ou 8 d ailleurs... mais je m égare les curieux iront sur X j en dis dira plus huhuhu
Voui
cette arrestation est un signe clair pour nou les francs, luttant les romains bref les voleurs...les occupants...provisoire ...
Nm
M ont fait signé sous la contrainte hein...
Tsetsatsetra tsy haritra : ataovy amin’ny teny gasy ny zavatra soratana ry nandra fa
aza ijestivana ny fahavendrananao,miverena mianatra marina e !
Tandremo hatrany sao tratra farany eo an, jereo ange fa na i risara baomba aza ity
efa latsatay.
Vaovao mampihomehy no mampalahelo :
Tokony novana ny anaran’ny Tobin’ny Zandarmariam-Pirenena etsy Ankadilalana ka hitondra ny anarana hoe : « Toby bômba korontam-by » (tena marina ilay kinasa fa navadiko amin’ny anarana ahafantaran’ny be sy ny maro an’ilay olona ankehitrio).
Tokony notokanana tamin’ny 13 desambra lasa teo fa asa izay antony tsy nahatanterak’izany.
Lasa ny saina : f’inona no vitan’i korontam-by teto amin’ny firenena no dia omena ny anarany ny tobim-panjakana ?
Dia maninona no tsy natao hoe « Toby Andriamaholison Richard » na « Toby Soja » na « Toby Rakotomanga Mijoro » fa dia hoe bômba korontam-by ! Klé (a)lika é !
Dans l’article, trois chefs d’accusation sont cités...mais le même article annonce qu’il y en a quatre...
Le quatrième, c’est quoi alors ?
Selon les informations, corroborées par plusieurs sources, le quatrième, ce serait d’avoir " écrit sur son compte Fb le terme Jiraman-doza !
Oui, il est interdit et défendu de dire et écrire ce mot !