Le Président de la République, Andry Rajoelina, a atterri ce 16 août après-midi, à l’aéroport international Robert Gabriel Mugabe de Harare, au Zimbabwe. Cette visite s’inscrit dans le cadre de sa participation au 44ème Sommet des Chefs d’État et de Gouvernement de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC), prévu le 17 août 2024 au nouveau Parlement du Mont Hampden.
Accueilli avec tous les honneurs protocolaires par le Ministre des Mines du Zimbabwe, Monsieur Soda Zhemu, représentant le gouvernement zimbabwéen, le Chef de l’État malgache fait une énième sortie sur le continent africain, qui coïncide avec une période cruciale pour Madagascar, alors que la formation d’un nouveau gouvernement est imminente.
Placé sous le thème « Promouvoir l’innovation pour découvrir de nouvelles perspectives de croissance et de développement économiques en faveur de la SADC », ce sommet réunira les dirigeants des 16 pays membres de l’organisation. L’accent sera mis sur l’identification de stratégies efficaces d’industrialisation et l’usage de nouvelles technologies pour stimuler la croissance et un développement durable dans la région.
Le Président du Zimbabwe, Dr. Emmerson Dambudzo Mnangagwa, prendra la présidence tournante de la SADC lors de cette réunion, succédant à l’Angola. Andry Rajoelina participera non seulement à la cérémonie d’ouverture, mais prendra également part à une réunion à huis clos où les chefs d’État échangeront sur les enjeux régionaux. En fin de sommet, il prononcera le discours de remerciements des participants lors de la cérémonie de clôture.
Ce sommet revêt une importance particulière pour Madagascar, qui a été désigné pour accueillir officiellement le 45ème sommet de la SADC en 2025. À l’issue de cette rencontre à Harare, Madagascar intégrera également la Troïka de la SADC, composée du président sortant (Angola), du président en exercice (Zimbabwe) et du futur président, qui sera assurable par la Grande Île.
Cette sortie du président, à la veille d’un tournant politique majeur pour Madagascar, pose la question des priorités nationales face aux enjeux régionaux. Les efforts visant à renforcer la présence de Madagascar sur la scène africaine semblent se conjuguer avec une nécessité d’alignement interne dans les mois à venir.
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Vos commentaires
et ne vous étonnez pas si le MPOX se pointe à tana...
il a peur rajoel.... les bruits commencent à courir... et il va faire exactement comme ra8.... demander un feuille de route , exigez que cette feuille de route soit respectée.. à la différence qu il n y a pas d opposant !!!!! l enemie vient de l intérieur.. au sein de son équipe !!!!
il va se réfugier en France ? livreur de pizza ????
Le Zimbabwe traverse une situation politique et économique complexe, marquée par des défis importants, mais aussi par des évolutions récentes qui reflètent à la fois des dynamiques internes et internationales.
Situation Politique
1. Présidence d’Emmerson Mnangagwa : Le Zimbabwe est dirigé par le président Emmerson Mnangagwa depuis novembre 2017, après la démission forcée de Robert Mugabe, qui avait été au pouvoir pendant près de 37 ans. Mnangagwa a été réélu en août 2023 lors d’élections controversées. Son gouvernement est souvent critiqué pour sa gestion de l’économie et les violations des droits humains, notamment la répression des opposants politiques et des journalistes.
2. Opposition et répression : Le principal parti d’opposition, le Mouvement pour le Changement Démocratique (MDC), a été affaibli par des divisions internes et par la répression du gouvernement. Les autorités zimbabwéennes sont accusées de réprimer les voix dissidentes, de manipuler les processus électoraux et d’intimider les opposants.
3. Relations internationales : Le Zimbabwe est toujours sous le coup de sanctions internationales, principalement imposées par les États-Unis et l’Union européenne, en raison des violations des droits humains et de la corruption. Ces sanctions, bien que limitées à certains individus et entités, affectent indirectement l’économie du pays.
Situation Économique
1. Inflation et dépréciation de la monnaie : Le Zimbabwe fait face à une hyperinflation persistante. La monnaie locale, le dollar zimbabwéen, s’est fortement dépréciée, entraînant une perte de pouvoir d’achat pour la population. En 2023, l’inflation a atteint des niveaux alarmants, ce qui a conduit à une dollarisation partielle de l’économie, avec le dollar américain utilisé dans de nombreuses transactions.
2. Crise énergétique : Le pays connaît des pénuries d’électricité chroniques, aggravées par une infrastructure vieillissante et une mauvaise gestion des ressources. Les coupures de courant fréquentes affectent la production industrielle et la vie quotidienne des Zimbabwéens.
3. Chômage et pauvreté : Le taux de chômage reste extrêmement élevé, avec une grande partie de la population travaillant dans l’économie informelle. La pauvreté est endémique, et de nombreux ménages peinent à subvenir à leurs besoins de base.
4. Secteur agricole : L’agriculture, autrefois le pilier de l’économie zimbabwéenne, a été gravement touchée par les politiques de redistribution des terres sous Mugabe, qui ont conduit à une baisse de la production. Toutefois, des efforts sont en cours pour revitaliser ce secteur crucial.
Perspectives et Défis
Le Zimbabwe continue de faire face à des défis considérables, tant sur le plan politique qu’économique. Le gouvernement de Mnangagwa tente de rétablir la confiance des investisseurs étrangers et de stabiliser l’économie, mais ces efforts sont souvent minés par la corruption, l’instabilité politique et les sanctions internationales. L’avenir du Zimbabwe dépendra en grande partie de la capacité du pays à réaliser des réformes significatives, à instaurer un climat de paix politique et à relancer son économie de manière durable.
ChatGPT
Bonjour Kartell,
Mnangagwa a un surnom au sein du milieu politique local, le crocodile !
Et le visiteur ? Vous savez deja...
Le 6 eme d ane voudrait devenir le President du SADC, et son acolyte, pour presider la commission de l UA.
Une protection diplomatique au niveau continental au cas ou...
Pouvant donner lieu a l envoi d une force d interposition venant du grand continent au cas ou...
Hello Vohitra,
Visiblement à la recherche d’une présidence internationale, notre globe-trotter ne lésine pas sur ses déplacements internationaux qui doivent ravir son entourage qui hier, avait été moins gâté, voir frustré…
Aujourd’hui, être président ne semble plus lui suffire, il voudrait accéder à l’échelon supérieur sauf que la concurrence est rude et le prétendant, un débutant qui fait « ses classes à l’export » !…
Coaché par des pointures comme son immense ami, Paul K., cela ne semble pas suffisant pour espérer concrétiser ses espoirs, mais, sait-on jamais ?, la chance sourit aux audacieux, surtout lorsqu’il peuvent compter sur du « beau monde » en coulisses !…
Cette démarche de reconnaissance internationale ne doit pas faire oublier qu’il recherche avant tout, un scénario pour rester au pouvoir au-delà du permis et ceux qui n’ont pas intégrer cela, risquent d’être désagréablement surpris dans trois ans …
Nous assistons à un scénario machiavélique et voir son malheureux adversaire d’hier, briguer la capitale donne le ton sur ce qui risque de se passer : une mascarade, politicienne, de plus !…
Quand à croire à une aube révolutionnaire, permettez-moi d’en douter d’autant que cela ne se fera pas derrière un clavier de tablette où les prévisionnistes sont nombreux et très en verve, mais, dans la rue !..
Admettez que le fossé est abyssal et que l’enthousiasme des uns n’est pas à la hauteur de ceux qui sont très directement concernés !..
Vous savez, avec des si, on peut tout imaginer, sauf, que, seule la réalité est l’unique maîtresse des choses !…
Kartel
Vous pontifiez un peu par des jugements hâtifs....
1) en minimisant la place que tient le« CLAVIER » dans L’INFORMATION
2) tous les jeunes de Tunisie , du BANGLADESH, de Tien’Anmen etc y ont recours, plus qu’au journaux politiques ou économiques
3) les journaux malgaches versent beaucoup dans le journalisme d’opinion plus que d’investigation...et ne suffisent pas.
4) vous réduisez la candidature de Ravalomanana à une mascarade de plus.
Manière bien désobligeante de considérer les votes sans équivoque de Rejet des fozas à Tana
et vous ne vous questionnez pas sur la capacité de nuisance des Tananariviens , démontrée depuis Richard Andriamanjato
Pour le reste, je vous demanderai de prendre le temps de lire attentivement les interventions avant d’émettre des jugements hâtifs.
Le but sur ce site est de participer à une lutte et non de se faire plaisir en cabotinant.
Il va, peut être, profiter de l’occasion pour proposer à la SADC un remède miracle (type Covid-Organic) pour lutter contre le Mpox !.😜
@+🕊
TOUT EST DIT !!!
« L’accent sera mis sur l’identification de stratégies efficaces d’industrialisation et l’usage de nouvelles technologies »
Pas de panique tout ce tralala pour essayer d’ identifier des stratégies efficaces ???
En résumé ce sommet comme tous les autres ne sert qu’ à se montrer, dépenser de l’ argent que le Peuple n’ a pas pour feindre « se gratter la tète » : (spécialité locale) pour ne pas dire « singer » les komba devant un problème insoluble ou juste se demander comment s’ arrêter d’ être kon ...
Mandimbisou , vous brassez encore du vent là di don !
Pour industrialiser un pays de quelle stratégie avez vous besoin autre que des industries ???
Et pour cela vous avez besoin « d’ identifier » quoi : comment une industrie fonctionne ???
Et vous avez besoin de traverser l’ Océan pour cela ???
Les idées sont toujours plus lumineuses chez le voisin qui lui ne connait pas les joies des délestazes ...
Allez je vous aide, une industrie qui marche sans l’ électricité ni eau , c ’est comme un genre de Roquefort : ça n’ existe pas !!!
Autant chercher à identifier comme s’ accouplent les étoiles, ou autres débilités ???
Au lieu de tergiverser, à perdre du temps, dépenser des sommes exorbitantes en déplacements, hôtels et restaurants pour feindre faire quelque chose, commencez par assainir votre Pays, sa situation, sa viabilité ( eau électricité et routes) et arrêtez de prendre les gens pour ce que vous êtes : des kons !
Il est de salut Public et National de dégager ces parasites corrompus comme vous et le premier qui se dévouera devrait être érigé en Héros National avec une statue a son effigie devant l’ hôtel de ville Ave de l’ Indépendance ou devant le Palais de la Reine !!!
Oui je sais cela n’ est pas compatible avec les fombas gasy ...
Faudra pourtant un jour vous y résoudre !
Le babakoto Nouzalon adore s’occuper du SUPERFLU BLING BLING
au détriment de L’ESSENTIEL DE LA VIE QUOTIDIENNE :
– L’EAU
– L’ELECTRICITE
Le vazaha bling bling miraiky delà ( en forçant la dose ) se complait à singer les personnages de Georges Brummel ou de Dorian Gray ....mais aux petits pieds...mythomane, nombriliste...je ne sais pas pour la tendance homosexuelle.