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bekily
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Les israéliens sont connus pour leur maîtrise de la culture sur sol aride avec une utilisation très parcimonieuse des ressources hydriques. La technologie d’irrigation goutte à goutte vient de chez eux.
Si le projet est mené pour être réalisé par les agriculteurs malagasy et fait pour répondre au besoin nutritionnel des malagasy, je le soutiens à 100%.
Je pense toutefois qu’on a plus besoin de l’expérience et du savoir faire des israéliens pour développer l’agriculture dans le Nord, l’Ouest et le Sud où le climat est aride et où le stress hydrique est le plus ressentis.
Pour aller loin, avec l’eau en quantité abondante dans le sous-sol du Sud, avec ces israéliens, il est tout à fait sain pour la population et pour la faune et flore de y développer un agriculture durable qui profite à tous au lieu de se lancer dans ce projet mortifère de Base Toliara.
Je reste cependant sceptique sur certains points :
– Qui va être sélectionner pour mener ces programmes ? Les paysans sur place à former ou d’autres gens issus du monde entrepreneurial qui emploient par la suite les paysans comme employé agricole ?
– A qui appartient les terres que les agriculteurs vont exploiter ?
– Comment développer cet agriculture sans matériels correspondants (tracteurs, drones, ordinateurs, internet).
– Qui va fournir ces équipements, et l’entretien de ceux-ci, aux agriculteurs ? L’État ? Une entreprise privée par le biais d’une gestion locative ?
– Ou bien, les paysans devraient-ils s’organiser en coopérative, puis, s’endetter pour être à la merci des banquiers ?
– Comment développer tout ce savoir et toutes ces technologies avec les délestages permanents et quotidiens, rendant inutilisable lesdites technologies ?
Beaucoup de questions sans réponse dans l’article.
Pour rappel ici à Diégo : Dimanche (coupure de 16h à 7h du matin). Lundi (coupure de 9h du matin à 23h). Aujourd’hui, coupure depuis 8h, jusqu’à ????). ça, c’est en ville. Horrible. On ne travaille plus. Tout est à l’arrêt. Imaginez à la campagne.
Ce régime a beau imaginer ou signer toute sorte de coopérations possibles, mais, sans électricité, sans sécurité, sans route, impossible de mener quoi que ce soit pour développer ce pays. Impossible.