Je ne vois pas l’ intérêt de médiatiser un accord pareil comme si vous veniez de vendre pour plusieurs milliards d’ Airbus à je ne sais qui ?
En tous cas ils prennent bien la pose !
Un « accord » qui ne mange pas de pain, pour ne pas dire qui ne coute pas un ariary, et qui n’ engage en rien autre que « partager son expertise » ! (en échange de l’ hébergement le sakafo et peut etre les billets d’ avions à minima de déplacements)
Dans un Pays désertique comparativement à Madagascar ou les nappes phréatiques sont sous exploitées, voir ignorées, et abondantes : ce ne devrait pas être trop difficile de montrer à ces hôtes leur incompétence (pour ne pas dire autre chose)...
« La gestion de l’ eau 1 pilier de développement durable » !!! (ah ? pour les grands titres ça sait faire , sans JAMAIS oublier les termes qui vont bien : « résilience » ben voyons !)
Quelle ambition !, on attend avec impatience l’ implantation de bals poussières dans toutes les communes, villages & fokontany pour compléter ce " pilier de développement durable ...
Au lieu de prétendre s’ occuper de la « résilience » du climat, il ferait mieux de commencer par l’ éducation, la santé et la sécurité de ses administrés, de leur fournir de l’ eau et de l’ électricité au lieu d’ attendre après Pierre, Paul ou jacques qu’ ils le fassent à votre place, c ’est vrai que pour récupérer de l’ eau de pluie ou creuser des bassins de rétention, il faut au moins avoir fait bac + 7 .
Pour le terme « consensuel » ce sera pour un autre accord ou projet, comme quoi le « métier » de Président à Madagascar consiste à couper des rubans, faire des inaugurations et sceller des accords avec aucun suivi concret, objectif réel ou devoir de résultat, en gros brasser de l’ air, et il faut reconnaitre que le rat 6e dan des bals poussières excelle dans la discipline !