Répondre à un commentaire
Pour participer à ce forum, merci de vous connecter avec l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.
Répondre à un commentaire
Pour participer à ce forum, merci de vous connecter avec l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.
Publicité
Articles populaires
Derniers commentaires
Accoucher d’une démocratie après une bonne décennie d’unilatéralisme, bling-bling, n’est pas chose facile, voir, peut-être, impossible ?..
La rénovation, tant attendue, semble se heurter à un constat accablant : faire du neuf avec un lourd passé de corruption, de courtisanerie, plongées dans des structures, hors d’usage avec une mondialisation, exigeante..
Le défi des réformateurs est immense et le changement, annoncé, risque de prendre du temps, de l’argent et beaucoup de la modestie de ses nouveaux entrepreneurs du bonheur.
D’autant que le fugitif au Qatar ne compte pas en rester là dans sa fuite, orchestrée par une puissance étrangère, réduite, désormais, à jouer à France-assistance pour exfiltrer le pire modèle d’une idéologie, dénoncée, au pire du danger dans les rues de la capitale !.
Il est clair que l’ex tentera, avec son cabinet fantôme, de regagner sa place en or, en utilisant tous les moyens, voir à quémander le soutien de tous ceux, qui, tentent, depuis un certain temps, de lui offrir une opportunité à changer son fusil d’épaule, en Kalachnikov ?..
La tâche de ceux qui viennent d’accéder au pouvoir ne sera pas une sénicure, d’autant que les difficultés s’amoncellent tant au niveau du recrutement, du personnel, d’une société civile, consanguine, que de celui de l’état, alarmant par son tissu social et économique…
L’avenir du pays est entre les mains d’urgentistes qui n’ont pas les moyens de leurs ambitions, dépendants de l’extérieur pour la poursuite, voir, l’intensification des aides.
Et, sur le plan, intérieur, d’une société, qui a fait de son clientélisme, culturel, le premier obstacle à tout changement, authentique, qui lui permettrait de fermer, enfin, la page d’un surplace, traditionnel et répétitif..
Les conseillers se bousculent au portillon pour apporter leur science de la bonne gouvernance, mais, sur le terrain des opérations, la confusion règne et les solutions semblent moins aisées à trouver que derrière un clavier où chacun offre sa vision très « andafyque »des choses..
Reste que ce sont les hommes du cru qui, seuls, auront la lourde tâche de mener les choses vers le meilleur, en ayant peu d’expérience de la démocratie, de la concurrence économique dans un état laissé en chantier par un ex qui avait fait de son pouvoir une priorité à l’inutile au détriment de l’indispensable !..
Aujourd’hui, il s’agit d’œuvrer à son contraire, lourde tâche !..