Pour le cocu magnifique

Avoir des origines bretonnes (parmi d’autres, au demeurant) ne signifie pas ’’être de souche’’ : cette expression, qui n’a aucun sens, est réservée aux vieux fachos du genre ’’Ysengrin’’, le cocu magnifique. Le ’’kouign amann’’ (gâteau au beurre avec... beaucoup de beurre !) est un peu trop gras à mon goût. En outre, les ’’origines’’ de cette pâtisserie ne sont pas morbihannaises mais finistériennes. Enfin, la Bretagne ne se limite pas aux menhirs de Carnac si chers à Jean-Marie Le Pen. Le pseudo nauséabond et ridicule du ’’canis lupus lupus’’ du forum n’est finalement que celui d’un touriste nourri aux clichés folkloriques. Une sorte de synthèse du ’’Guide du connard’’.
Enfin, l’ami ’’Zanadralambo’’ n’est en rien mon féal, du moins dans le sens que le loulou cocufié s’autorise à donner à ce mot. Mais ’’Zanadralambo’’ est honnête, lui, et loyal (sens premier du mot en question) et, en outre, il a bonne mémoire. Je l’en remercie donc en toute simplicité (cela se fait entre amis, même virtuels).
S’agissant de ma prétendue ’’fatuité’’, je suis aussi au regret de constater qu’il y a beaucoup de ’’suffisance" à l’affirmer sans le démontrer. Pour se saouler au ’’Bar des expats fielleux’’, que le vieil animal se contente donc de sa vinasse ordinaire et qu’il cesse de faire des phrases : à défaut d’être ’’fat’’, il finirait par être ’’pédant’’...
Mais, puisque cela excite la petite chérie, je vais lui donner la définition la plus simple de l’humanisme dont il ose parler sans rien en connaître : depuis la Renaissance, en étroite relation avec la culture gréco-latine, l’humanisme est une inclination intellectuelle à penser que la culture rend l’homme plus... humain. Et rien de plus. Ce n’est surtout pas une profession de foi contre la peine de mort pour les barbares (par définition sans culture).
Y’a pas, le fâcheux ’’Ysengrin’’ est vraiment un abonné aux idées toutes faites, un vulgaire donneur de leçons mal apprises, quoi. Et, ’’humain plus qu’humain’’, moi je persiste : les salauds méritent au mieux une balle dans la nuque. Sous Mao, dit-on, on envoyait même la facture de la balle à la famille. Mais bon, c’était des Chinois et puis ’’O tempora, o mores’’, comme on disait dans les presbytères...

PS - Sinon, puisque les ’’écrits restent’’, j’attends toujours les preuves écrites !!! Chiche.
Encore un mot : l’excellente Ikala Paingotra titre son édito du jour ’’Échec ou mat ?’’. A mon avis, le point d’interrogation est superfétatoire... Et bisous à vous tous (ou presque).