Le virage à 360 degrés ne fait pas peur à Guillois, le gaulois, qui, hier, assurait de son soutien, moral et technique, le fugitif, et, qui, aujourd’hui, serait prêt à œuvrer à la réussite du nouveau pouvoir en place !…
Un pragmatisme diplomatique qui dépasse tout ce qui avait vu et vécu jusqu’à, aujourd’hui !…
Cet « en même temps », qui ne surprend pas, mais, qui agace, au plus au point, dans un « du lard ou du cochon » qui pose problème sur la réalité de ses intentions que beaucoup soupçonnent être une manière de pouvoir rester en contact, étroit, avec les nouveaux maîtres, déboussolés, du pays, face à une concurrence, décomplexée..
En réalité, cette valse-hésitation affaiblit un peu plus une position française qui tente de s’agripper aux débris d’un pré-carré, réduit à un timbre-poste, en Afrique…
Mais, il n’y a pas lieu d’en rajouter parce que ces maladresses et autres pantalonnades diplomatiques suffisent, à elles-mêmes, pour que cette autoflagellation d’un partenaire, historique, se situe au plus bas de sa notoriété d’antan..
Désormais, le mot d’ordre de l’Élysée est de tout mettre en œuvre pour se montrer des plus coopératifs avec les nouveaux locataires.
Mais, aujourd’hui, difficile de dire, si, quelques rancœurs, accumulées durant ce couac, élyséen, ne s’exprimeront pas dans un futur prochain à son encontre, à moins, que le « fraîchement converti » facilite ce nouveau pouvoir (avec une bonne volonté, spontanée !) à surmonter l’insurmontable, d’hier !..
Mais, quoiqu’il en soit, ce nouveau contretemps laissera dans le passif, bilatéral, une touche de ressentiment, insulaire, face à un partenaire, historique, qui feint de confondre, vitesse et précipitation, au détriment d’une soi-disante « morale politique », allègrement, foulée, dans le cas, présent !..