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Banque Mondiale : un projet de 185 millions USD pour améliorer l’accès et l’apprentissage

jeudi 24 juillet | Mandimbisoa R. |  320 visites  | 27 commentaires 

Un nouveau programme qui vise à améliorer l’éducation primaire a été approuvé hier. Baptisé TALIM (Transformation de l’accès et de l’apprentissage à Madagascar), a été officiellement approuvé, ce projet est doté d’un financement total de 185 millions de dollars. Il bénéficiera directement à 4,7 millions d’élèves, 135 000 enseignants et 27 000 écoles primaires publiques à travers le pays.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme régional AIM4Learning (Advancing Innovative Methods to Promote Learning in Eastern and Southern Africa) et marque une nouvelle étape dans la lutte contre la crise de l’apprentissage à Madagascar. Malgré des progrès en matière d’accès à l’éducation et de réduction des inégalités entre filles et garçons, les taux d’achèvement scolaire et les résultats d’apprentissage restent préoccupants. À peine 63 % des filles et 58 % des garçons terminent le cycle primaire, tandis que 95 % des élèves en fin de primaire ne savent pas lire correctement.

Le projet TALIM vise à intervenir sur trois axes principaux : la qualité de l’enseignement et la gestion des enseignants, les infrastructures et environnements scolaires, ainsi que la gouvernance du système éducatif. Il prévoit notamment la formation et la qualification des enseignants, la professionnalisation de 26 000 enseignants contractuels, et la réhabilitation de plus de 1 000 écoles dans les régions vulnérables aux cyclones.

Face aux faiblesses structurelles du système éducatif — taux de redoublement élevé (25,3 %), forte dépendance à des enseignants communautaires non formés (63 %), infrastructures précaires, et financement limité (2,5 % du PIB consacré à l’éducation) — le projet entend poser les bases d’une réforme durable. Des outils pédagogiques seront distribués dans plusieurs langues, et le programme national de cantines scolaires sera renforcé, notamment dans les zones où l’insécurité alimentaire affecte la scolarisation.

« Chaque enfant mérite un bon départ dans la vie, et cela commence par l’accès à une éducation de qualité », a déclaré Atou Seck, représentant de la Banque mondiale à Madagascar. De son côté, Almedina Music, spécialiste principale de l’éducation, a souligné que le projet allait au-delà des programmes précédents, en s’appuyant sur des réformes structurelles et des investissements ciblés pour renforcer la résilience du système éducatif face aux défis actuels.

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27 commentaires

Vos commentaires

  • 24 juillet à 10:32 | pisokely (#9950)

    encore de l argent qui va disparaître... on prépare les élections ???

    Répondre

    • 24 juillet à 12:20 | bekily (#9403) répond à pisokely

      De L’ARGENT À DÉTOURNER comme.d’habitude.

      Les fozas ne cessent.d"endetter encore plus un pays en quasi état de BANQUEROUTE.
      .pour engraisser davantage le cartel mafieux .

  • 24 juillet à 10:43 | Isandra (#7070)

    C’est une attestation de plus pour certifier que Madagascar est sur le bon rail vers l’émergence, et que la politique générale de l’Etat est la bonne et crédible dans ce sens,….

    Ce genre d’accord ouvre des autres portes de financement pour accélérer la cadence,….

    D’autant plus, cette performance se fait sentir de plus en plus dans la vie quotidienne des Malagasy, dans le pouvoir d’achat,…les demandes se multiplient comme les offres,…

    Répondre

    • 24 juillet à 11:24 | Vohitra (#7654) répond à Isandra

      Plutôt lire et écrire « Immergence Madagascar »...

    • 24 juillet à 11:57 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      ITV,

      On sait que c’est l’un des contenus de votre prière, mais, ce n’est pas exaucée, les efforts de ce régime commencent à se faire sentir, les Malagasy sentent que les choses bougent,…,

    • 24 juillet à 11:58 | Rabeanosy (#11701) répond à Isandra

      Be ny vola efa azo hatramin’ny 2009.
      Inona no vitan’ireto mpanongam-panjakana hatramin’izao ?
      Fa nahoana no tsy tafala amin’ilay toeram-pahantrana ity firenena ?
       fahasalamana
       fandriampahalemana
       asa
       sakafo
       fambolena
       fianarana
       jiro
       rano
      lava dia lava ny lisitra ary heloka be eo anatrehan’ny firenena sy ny vahoaka ny finiavana tsy hijery ny zava-misy.

    • 24 juillet à 12:23 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      Déserteur,

      Marihina moa fa tsy d’antan’ ny Déserteur fa tamin’ny transition dia nahanton’ny mpamatsy vola ny famatsiam-bola.

      Ity fitondran/dRajoelina ity no anisan’ny tsy dia betsaka ny vola azony no sady tara ny décaissement, kanefa, dia maro tokoa ny zava-bita, sekoly manara-penitra, hôpitaly, lalana, sns

      Tadidio, fa i Ravalo nahazo 5 milliards $, kanefa amintsika miteny izao efa tsy misy hita ireo zavatra mba natsangany, kanefa dia trosa nobetsaka @ ireo. Ary nohon’ny tsy fahafahampon’ny mpamatsy vola tamin’ny fampiasana ireo vola ireo, dia nahaton-drizareo ny fanampiana sy ny famantsiam-bola.

    • 24 juillet à 12:25 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Oui boloky
      Les choses bougent. ...au fond du trou noir !!!!

      Tu es payée pour divulguer la propagande mensongère
      Mais te vient il une minute a l’esprit que :
      être complice ne signifie pas forcément se comporter en esclave servile et thuriferaire ????
      .

    • 24 juillet à 13:31 | Isandra (#7070) répond à Isandra

      Béquille,

      Vous ne vous rendez toujours pas compte que les gens sur ce forum savent que vous ne venez ici que pour décharger votre rage,….

      Tout le monde connaît par cœur votre rengaine, disk loaka.

  • 24 juillet à 10:47 | Isandra (#7070)

    Le régime est déterminé à en finir une fois pour toute.

    Lutte contre la corruption - Madagascar s’équipe d’un mécanisme de suivi et d’évaluation.

    « Un nouveau pas fait dans la lutte contre la corruption à Madagascar. La Grande île met en place, pour la première fois, un mécanisme de suivi et d’évaluation de sa Stratégie nationale de lutte contre la corruption (SNLCC). Ce cadre, actuellement en cours d’élaboration lors d’un atelier de deux jours, constituera l’outil central du comité de suivi et d’évaluation, l’un des organes phares du cadre institutionnel récemment adopté pour mettre en œuvre la SNLCC.

    « Avant d’appliquer le plan d’action, il faut d’abord savoir ce que l’on vise, quels résultats concrets on attend, et dans quelle direction nous voulons faire avancer la lutte contre la corruption », explique Tsiry Razafimandimby, secrétaire exécutif du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI). D’où l’importance, selon lui, de ce cadre qui permettra enfin de mesurer l’efficacité des efforts entrepris, d’identifier les blocages et d’en tirer les conséquences.
    Le comité de suivi et d’évaluation sera ainsi chargé d’analyser chaque année les réalisations par rapport aux objectifs fixés. Les indicateurs de performance, en cours de définition, serviront de base pour évaluer les résultats, interpeller les responsables et proposer des ajustements. « Ce que nous mettons en place est inédit : tout le monde est désormais sensible à l’obligation de résultats. Les citoyens comme les décideurs attendent des preuves concrètes d’avancées », affirme Tsiry Razafimandimby.
    Le mécanisme s’intègre dans un cadre institutionnel désormais complet, qui définit clairement le rôle de chaque entité. Outre le comité de suivi, ce cadre comprend un comité de pilotage de la mise en œuvre de la SNLCC rassemblant le Premier ministre, dix ministères, le CSI et les principaux organes de lutte contre
    la corruption, ainsi qu’un comité multi-acteurs réunissant parlementaires, société civile, secteur privé et partenaires techniques. « Le comité multi-acteurs aura toute latitude pour contrôler la conformité de la mise en œuvre. Comme la société civile l’a toujours fait, il pourra critiquer, proposer, alerter », souligne le secrétaire exécutif du CSI.
    La SNLCC entre donc dans sa phase d’opérationnalisation. Après la mise en place du mécanisme de suivi, viendra l’élaboration du plan de mise en œuvre par objectifs stratégiques, dont le premier est de mettre fin à l’impunité. « Nous devons être capables, dans cinq ans, de dire que nous avons brisé le règne de l’impunité », lance Tsiry Razafimandimby. « Lors des réunions d’aujourd’hui et de demain, nous devons examiner les moyens qui nous permettront d’affirmer qu’à l’horizon de 5 ans l’ère des intouchables est bel et bien révolu », explique-t-il. « 

    Répondre

    • 24 juillet à 11:22 | Vohitra (#7654) répond à Isandra

      Le tableau d’affichage pour les propagandes se trouve ailleurs qu’ici.
      Et le copier/coller n’est pas propice pour un réel débat constructif.

    • 24 juillet à 12:29 | bekily (#9403) répond à Isandra

      On s’endette
      ET EN MEME TEMPS
      On s’endette tout en FAISANT PROSPÉRER les DETOURNEMENTS DE FOND ET LA CORRUPTION RN TOUT GENRE.

      Voilà comment les fozas détruisent le pays est devenu :
       UN DES QUATRE PAYS LES PLUS PAUVRES DU MONDE
      *** RIEN suivre la CORRUPTION
      *** les trois autres pays ayant subi guerres et conflits armés !
       AVEC FAIM ALARMANTE
       AVEC CAPITALE LA PLUS SALE D’AFRIQUE

      EN FINIR AVEC la CORRUPTION ????
      Fantoche !!!

       DEGOMMER EN PRIORITE RAVATOMANGA ET RAJOELINA !!!!
      Et évidemment GERARD PERCEAU

    • 24 juillet à 12:32 | bekily (#9403) répond à Isandra

      Pays très pauvre rien qu’avec la corruption

  • 24 juillet à 11:01 | Cancado (#11747)

    Merci la Banque Mondiale ? $185 millions de dons, de prêts à taux concessionnels ou de prêts au taux du LIBOR ? Pourquoi aujourd’hui, le gouvernement n’est-il pas en mesure de dégager à destination de l’éducation ou de la formation professionnelle des jeunes ce montant du budget de l’état, à la place des dépenses nombreuses et futiles, exemple l’achat récent des avions LET pour l’armée dont la réception en grandes pompes a eu lieu juste avant la fête nationale ?

    Répondre

    • 24 juillet à 11:43 | Isandra (#7070) répond à Cancado

      Cancado,

      Citez nous ici les projets présidentiels que vous avez qualifiés futiles !

    • 24 juillet à 12:07 | bekily (#9403) répond à Cancado

       Futiles comme miami, comme le colysee....sans compter les futilités à venir comme les projets colysee à Fianarantsoa et RAVINALA à Ivato
       Non prioritaires comme le stade Barea ou le téléphérique, par rapport aux BESOINS D’INVESTISSEMENTS PERFORMANTS en EAU ET ELECTRICITE

      En tout cas FUTILES ,NON PRIORITAIRES ET IMPRODUCTIFS !

      Petite tête foza décérebrée est incapables de comprendre qu’est improductif toute réalisation IMPROPRE A REDUIRE LA PAUVRETE.
      Revoir la remarque du FMI dans à ce propos.

      Les fozas ne priorisent que les PROJETS RICHES EN RUISSELLEMENT KOLOKOLY

    • 24 juillet à 12:31 | Isandra (#7070) répond à Cancado

      Béquille,

      C’est plutôt votre attitude rafozandoza est de la futilité totale.

      Miami, qui fait entrer beaucoup d’argent à l’Etat grâce au prix d’entrée et attirer des gens à Tamatave, et permet des commerçants de développer leur activité, pour vous c’est futile.

      Cette zone d’activité a provoqué de dynamisme touristique et économique dans cette ville, que le Rafozandoza comme vous n’arrivez pas à comprendre.

    • 24 juillet à 12:47 | bekily (#9403) répond à Cancado

      Boloky qu’une base de loisirs soit source d’enrichissement : on.le saurait

      DEMANDER AUX BETSIMISARAKA
      SI .LEURS TAUX DE MORTALITÉ
      POUR PALUDISME , POUR DYSENTERIE AMIBIENNE,PAR MORTALITÉ INFANTILE
      ONT BAISSÉ ????
      Soit encore :
       LES EFFETS MORBIDES DE LA PAUVRETE NE BAISSENT PAS D’UN IOTA !
       VOTRE MIAM-MIAM BEACH N’EST QU"UN GADGET DE PLUS qui ne profite qu’à une petite minorité !

      Miam-miam ne profite qu’à la sphère foza !
       ?
      Et ARRÊTEZ VOS BOBARDS SUR TAMATAVE, en étant zanatany je prétends mieux connaître que vous MA ville !

    • 24 juillet à 12:50 | bekily (#9403) répond à Cancado

      Boloky ne sait même pas lire....
      Cet avion acheté juste avant le défilé prouve suffisamment
      la GROSSE FUTILITE DU BAC-3 !!!!

    • 24 juillet à 13:37 | Isandra (#7070) répond à Cancado

      Béquille,

      Ne prenez pas votre imagination délirante pour de réalité.

      On a demandé aux Tamataviens, s’ils sont contents de cette infrastructure, ils ont dit grand OUI, la preuve, ils ont donné à l’IRMAR la majorité pendant ce dernier municipale en guise de merci Président.

  • 24 juillet à 11:18 | Vohitra (#7654)

    Encore du saupoudrage entamé par une institution si prompte à endetter les pays pauvres avec des gouvernances pires que lamentables.

    Un programme fourre-tout asséné partout sans distinction dans tous les pays en coopération.

    D’abord, la Banque Mondiale devrait se référer à l’article 24 de la Constitution en vigueur et relatif à l’éducation de base dans le pays.

    Ensuite, un programme dénommé PEM ficelé à l’issue d’une large consultation de tous les partenaires oeuvrant dans le secteur éducatif est déjà disponible, détaillé et comportant les étapes permettant de concilier à la fois le contexte local, les objectifs d’apprentissage, l’insertion dans la vie sociétale du cheminement éducatif et particulièrement dans la promotion de l’éducation en milieu rural, ainsi que les différents critères de suivi et d’évaluation à la portée des parents et des éducateurs, même au niveau des bénéficiaires du programme.

    Rien ne sert s’endetter le pays avec un programme bidon fourre-tout pareil émanant de la Banque Mondiale, des acquis conceptuels sont déjà disponibles et conformément aux pratiques et mœurs dans le pays mais qui diffèrent de ce programme de la Banque.

    Ce PEM recouvre les aspects liés au secteur depuis le changement du calendrier scolaire jusqu’au connaissance, atouts et acquis à l’issue d’un cycle éducatif de base.

    A titre d’illustration, la nécessité d’adapter le calendrier scolaire au calendrier agricole dans le pays.

    Bref, il est plus que nécessaire d’arrêter de s’endetter pour des projets avec des impacts limités et des retombées diffuses...

    Répondre

    • 24 juillet à 12:27 | Jipo (#4988) répond à Vohitra

      Tous ces projets, servent à obtenir du vola, et enrichir les interlocuteurs qui sont au pouvoir, le reste n’ est que de l’ enfumage .
      Conditions primordiales de ces projets : des résultats et répartition des fonds intraçables !
      185 millions de $$ rien, que ça ?
      Si ça avait été des dons ils l’ auraient claironner en titre, donc des prêts, encore et toujours, ils n’ ont pas compris que ce sont des cannes à pêches qu’ il faut « négocier et vendre » et non feindre « donner » du poisson !
      Voilà pourquoi notre 6e dan de la sapologie, voulait être assis à la place du calife : pour « gérer » ces projets ...

  • 24 juillet à 11:46 | pisokely (#9950)

    dia iza indray no handoa an io trosa be io ??? ny tena aza ity mitrotongy vao omana ? amin zay zay mba sakafo kely azo vidiana tsy azo ho hanina ??

    ho lasa aiza io vola io ? dia lazaina rehefa avy eo hoe tsy fitiavana an i rajoel ??? tsy hita ny vola dia lazaina hoe tsy misy mpangalatra izany eo fa omeo ny porofo...

    Répondre

    • 24 juillet à 12:42 | Isandra (#7070) répond à pisokely

      Pisokely,

      « dia iza indray no handoa an io trosa be io ??? n »

      Izany ve mba fanontaniana ? Tena anarany mba dokotera.

      Rehefa tsy maharaka, dia aleo mipirina fa mahamenatra amin’ireo dokotera namana.

    • 24 juillet à 12:54 | bekily (#9403) répond à pisokely

      A force de SPOLIER ET VOLER L’ETAT les fozas ont peut-etre quelques difficultés à assurer leur SERVICE MINIMUM :
       COMME PAYER LES SALAIRES DES FONCTIONNAIRES ????

  • 24 juillet à 12:59 | Vohitra (#7654)

    Est-ce que les africains arrivent à finaliser la destruction du continent, dépassant les anciens colons européens du 19 et 20eme siècles ?

    Actuellement, la plupart des cadres de la Banque Mondiale dans chacune des divisions des opérations sont des africains formés en Occident. C’en est le cas pour Madagascar.

    Le plus grand obstacle pour ces cadres africains, c’est le fait de ne faire aucun effort pour adapter le secteur éducatif au contexte des défis et challenges auxquels les pays africains devront faire face compte tenu des évolutions de la géo-strategie des puissances industrielles vis à vis des ressources (hydrique, diversité edapho-climatique, biodiversité, alimentaire et minière) détenues par le continent africain.

    Les Africains ne doivent jamais oublier que la révolution industrielle en Europe et le progrès humain y afférent avaient été précédé d’abord d’une révolution agricole assumée et appropriée.

    C’était à partir du développement spectaculaire de la culture de pomme de terre ainsi que ses conséquences que le développement industriel s’était amorcé !

    Notamment les machines à vapeur, les navires marchands, le développement des voies navigables, la répartition des forces productives par secteur, le développement des recherches, l’orientation du secteur éducatif selon les besoins et réalités de l’époque...

    Les Africains devraient s’assumer et utiliser ses capacités pour entamer des innovations adaptées au capital humain africain...et savoir tirer des enseignements à partir de l’historique de l’humanité...et non pas gesticuler inutilement en portant chemises et cravates dans des somptueux bureaux...

    Répondre

    • 24 juillet à 13:32 | Vohitra (#7654) répond à Vohitra

      Le PEM est déjà là disponible, et à ne pas confondre du tout avec le PEM d’ordre politique...

      Le PEM est le Programme de L’ Éducation pour Madagascar.

      C’est un programme élaboré entre 2015-2017 avec une consultation élargie auprès de toutes les Régions du pays, une innovation à la hauteur des exigences du secteur éducatif Malagasy et s’insérant dans la culture proprement locale.

      La Banque Mondiale devra financer ce programme au lieu de s’évertuer à nous endetter inutilement de cette manière.

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