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bekily
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Encore du saupoudrage entamé par une institution si prompte à endetter les pays pauvres avec des gouvernances pires que lamentables.
Un programme fourre-tout asséné partout sans distinction dans tous les pays en coopération.
D’abord, la Banque Mondiale devrait se référer à l’article 24 de la Constitution en vigueur et relatif à l’éducation de base dans le pays.
Ensuite, un programme dénommé PEM ficelé à l’issue d’une large consultation de tous les partenaires oeuvrant dans le secteur éducatif est déjà disponible, détaillé et comportant les étapes permettant de concilier à la fois le contexte local, les objectifs d’apprentissage, l’insertion dans la vie sociétale du cheminement éducatif et particulièrement dans la promotion de l’éducation en milieu rural, ainsi que les différents critères de suivi et d’évaluation à la portée des parents et des éducateurs, même au niveau des bénéficiaires du programme.
Rien ne sert s’endetter le pays avec un programme bidon fourre-tout pareil émanant de la Banque Mondiale, des acquis conceptuels sont déjà disponibles et conformément aux pratiques et mœurs dans le pays mais qui diffèrent de ce programme de la Banque.
Ce PEM recouvre les aspects liés au secteur depuis le changement du calendrier scolaire jusqu’au connaissance, atouts et acquis à l’issue d’un cycle éducatif de base.
A titre d’illustration, la nécessité d’adapter le calendrier scolaire au calendrier agricole dans le pays.
Bref, il est plus que nécessaire d’arrêter de s’endetter pour des projets avec des impacts limités et des retombées diffuses...